Malgré l’utilisation généralisée du cannabis dans le traitement de nombreuses affections, les sociétés pharmaceutiques sont toujours fermement opposées à la légalisation de la plante. Leur opposition est en grande partie due au fait que cela menace leur entreprise. Alors que l’industrie pharmaceutique crée des médicaments pour la guérison humaine, elle a un intérêt flagrant à graisser ses propres paumes. C’est pourquoi Big Pharma tente d’empêcher tous les États de légaliser la marijuana médicale.
Jusqu’à récemment, l’industrie pharmaceutique luttait contre la réforme de la marijuana médicale au Congrès américain. Maintenant, cependant, il a travaillé pour pousser le problème. Cette année, les électeurs du Michigan ont approuvé un programme de cannabis médicinal, et les législateurs étudient la possibilité de le faire. Mais l’état reste une interdiction totale. Le gouvernement fédéral a été lent à libéraliser les lois sur la marijuana. Mais maintenant, la situation commence à changer.
En 2012, un médecin typique dans un état de marijuana médicale a prescrit 1 826 doses d’analgésiques de moins qu’une décennie plus tôt. C’est une baisse importante. Et c’est une raison importante pour laquelle les sociétés pharmaceutiques luttent contre la réforme de la marijuana. L’industrie pharmaceutique a longtemps financé des universitaires et des groupes anti-pot. Ils ont également fait pression sur les agences fédérales pour empêcher la libéralisation du cannabis.
Si la légalisation réussit dans le Colorado, les républicains perdraient leur capacité à adopter un amendement constitutionnel qui rendrait le cannabis récréatif. Mais un vote est peu probable et le vice-président Mike Pence a le pouvoir de briser une égalité. Il est donc peu probable que le Parti républicain puisse remporter la majorité des sièges à la Chambre. S’ils perdaient quelques sièges, le projet de loi échouerait. Les démocrates pourraient présenter la législation eux-mêmes et l’adopter, mais cela risque d’être un processus long et difficile.
Une étude de l’ACLU a révélé que le médecin moyen spécialisé dans la marijuana à des fins médicales dans un État de marijuana à des fins médicales prescrivait 1 826 doses d’analgésiques de moins en un an. La baisse des prescriptions d’analgésiques risque d’inquiéter l’industrie pharmaceutique. Ils luttent contre la réforme du pot depuis des décennies, finançant des universitaires et des groupes anti-pot et faisant pression sur les agences fédérales pour empêcher sa libéralisation.
Malgré les effets négatifs de la légalisation, rien ne prouve que la marijuana ait un impact négatif sur la santé humaine. La majorité des Américains soutiennent la légalisation, mais les sociétés pharmaceutiques ont tout intérêt à la bloquer. Par exemple, une loi autorisant la marijuana médicale dans les milieux médicaux pourrait la rendre moins dangereuse pour les patients. En revanche, une loi autorisant la consommation de cannabis dans les lieux publics entraînera moins de décès liés à la drogue.
Bien que la marijuana bénéficie depuis longtemps d’un soutien public, les sociétés pharmaceutiques sont encore largement opposées à son utilisation. Insys Therapeutics, par exemple, a fait le plus gros don de campagne personnelle aux opposants à une initiative mamacita’s cookies de marijuana médicale en Arizona. La version synthétique du THC de la société, la sauce magique du cannabis, s’appelle Syndros. Ses efforts pour empêcher la légalisation du cannabis nuisent à la santé de l’État, de l’économie et de la santé des citoyens.
L’industrie pharmaceutique a longtemps lutté contre la réforme de la marijuana. Les entreprises financent des universitaires anti-pot et acheminent leur argent vers des organisations anti-pot. Ils font également pression sur le gouvernement fédéral contre la marijuana et font pression contre elle. Un report pour la marijuana s’est avéré être un grand avantage pour les deux États, car il réduira le coût des ordonnances. Un autre exemple est l’augmentation de la consommation d’opioïdes dans les états médicaux.
Insys a également été un opposant clé à la marijuana légale. La société a financé des universitaires et des groupes anti-pot qui ont combattu la marijuana légale. Il a fait pression sur les agences fédérales contre l’industrie du cannabis. L’industrie pharmaceutique est susceptible d’avoir un fort intérêt dans le résultat de la légalisation. Sa résurgence est due à l’échec du gouvernement fédéral à réglementer l’usine.